Catherine Bouchard a complété ses études doctorales à l’Université de Montréal en 2013. Sa thèse incluait une des premières études éco-épidémiologiques de la maladie de Lyme. Elle œuvre au sein de la division des sciences du risque en santé publique du Laboratoire national de microbiologie où son travail porte sur la surveillance, le contrôle et la recherche en lien avec la maladie de Lyme et les autres maladies transmises par les tiques émergentes liées aux changements climatiques. La docteure Bouchard s’intéresse particulièrement aux facteurs sociocomportementaux et environnementaux qui influencent le risque des maladies transmises par les tiques.
